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Reflexions

29 juin 2008

Foutage de gueule énormissime

Les gens croient quoi? Que je suis donc si naïve? Mais bien sûr, et la marmotte met le papier d'alu dans le chocolat. Nan mais après le déménagement d'un pote (il avait prévu de déménager et a mis tout le monde au curant, sauf moi!), il ose téléphoner et reprendre contact? J'ai dis bon ok. Il a débarqué, je pensais qu'il serait seul. Mais non, il est venu avec l'autre traitre, la personne qui lui a demandé devant moi s'il m'avait mis au courant du déménagement (j'ai pas été surprise, mais je venais d'avoir la confirmation de ce que je soupçonnais, les enfoirés). Et ils osent me demander si ça va bien, et pourquoi c'est de nouveau la foire chez moi, et pourquoi je fais la gueule. N'ont vraiment aucune cervelle. Et après ça, ils pensent que je vais faire des efforts? Il n'en est absolument pas question.

(texto que je viens de recevoir): bon! 2m1 midi tu viens manger chez moi, et si tu viens pas je mangerais tout et si je meurs d'indigestion ce sera de ta faute

(même s'il m'a téléphoné pour dire que c'était une une plaisanterie, c'était franchement de très mauvais gout, tout comme celle qu'il a faite au téléphone)

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23 mai 2008

Je ne sais pas quoi penser

Ce matin, j'ai accompagné une amie pour l'aider à faire quelques panneaux d'indication pour un vide-grenier organisé par l'association dont elle fait partie. Les présentations sont faites, tout le monde me sourit énormément et est très accueillant. Mais, je me suis sentie oppressée. Je ne saurais dire pourquoi. Peut-être l'ambiance sans musique. Peut-être que cette association représente un idéal auquel je n'accroche pas. Les personnes n'étaient pas du tout du même univers, mais d'un univers trop différent du mien. Je me suis sentie comme une extra-terrestre dans cette ambiance spéciale. J'ai beaucoup de mal à accrocher. Ça me perturbe énormément. Non je ne pense pas que l'ambiance soit celle à laquelle je m'attendais, malgré la description qu'avait pu m'en faire X. Les personnes n'étaient pas très bavarde, et je me sentais comme jugée par elles. Ce n'est que du ressenti, mais je ne pense pas que j'y retournerai. Trop de différences me perturbent.

15 mai 2008

Malaise

Et oui, ce soir le moral va bien. Mais le corps ne suit plus trop. Vertiges, bourdonnements d'oreille de plus en plus fréquents, En plus du stress lié aux examens de fin d'année. Rien de très bon, et tout tombe en même temps. Mais n'est-ce pas ce que l'on appelle vulgairement les "Lois de Murphy ou lois de l'emmerdement maximum"?
Comment se concentrer sur quelque chose quand on est en manque de tout ou presque? Dur. Très dur. Mais bon, plus que quelques temps a tenir, et tout devrait revenir à la normale rapidement. Du moins je l'espère. Sinon, l'assistante sociale est là pour aider. Mais elle m'énerve à vouloir jouer un rôle qui n'est pas le sien, à vouloir jouer la psy, pour être plus précise. Moins j'ai affaire à elle, mieux je me porte. De plus, il y a des personnes spécialisées dans les problèmes d'esprit, les psy. Donc ce n'est pas à cette personne de jouer ce rôle.

Sur ce, je vous laisse avec le sujet de composition en anglais (en simplifié), que j'ai choisi (l'autre ne m'inspirait pas du tout) :
Un patient qui s'échappe de sa chambre d'hôpital et impossible de le retrouver. Racontez.

14 mai 2008

Quand j'ai ouvert les yeux sur le monde. Mes espoirs

Ce soir, je me sens vide. L'humain ne m'inspire plus aucune confiance. Baignant dans la cruauté la plus totale comme dans l'indifférence la plus profonde. Dédaignant les autres, méprisant envers les gens différents. Egoiste.

Puisqu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur. Que l'on ne veut pas exprimer. Que l'on ne peut pas exprimer. Parce que trop profondément enfouies, ou trop personnelles. Que les amis devraient être là quand on a besoin d'eux, et qu'ils ne sont pas présents. Peut-on dire de ces gens qu'ils sont nos amis?

Qu'il est beau et bon d'admirer ce que la nature nous offre. Nous devrions essayer de le respecter le plus possible.

Quand on ouvre nos mains,
Il suffit de rien, dix fois rien
Suffit d'une ou deux secondes
A peine un geste un autre monde
Quand on ouvre nos mains.

Il suffit d'une main tendue, un geste, et tout pourrait devenir plus facile à supporter. Le jour où j'ai ouvert les yeux sur le monde, j'ai été terriblement déçue. Mais malheureusement il m'est impossible de les refermer.

Je vous laisse donc méditer sur ces paroles de Jean-Jacques Goldman, à qui j'ai emprunté un autre bout de chanson. Si vous réussissez à le trouver, faites-le moi savoir..

3 mai 2008

Manque d'affection et solitude, deux choses dures à porter (et à supporter)

Je ressens comme une amertume dans la vie. Parfois le découragement, le désespoir et la solitude m'envahissent.

LA SOLITUDE :
Quand j'essaye d'en parler avec certaines personnes, elles ne me comprennent pas quand je dis que je suis seule, parce que j'ai des amis. Ils ne comprennent pas, ou ils font semblant de ne pas comprendre. Je me demande comment je vais arriver à leur faire comprendre que ce dont j'ai besoin, ce n'est pas seulement des amis.

Définition de la solitude par Wikipedia :

- La solitude est l'état, ponctuel ou durable, d'une personne seule, c'est-à-dire d'une personne qui n'est engagée dans aucun rapport avec autrui.

L'AFFFECTION :
Oui je suis en manque d'affection. Et j'en ai par dessus la tête de le cacher. C'est dur de le faire comprendre aux autres. Et c'est tout aussi dur de se dire que l'on ne sait pas ce qu'est le contact physique. Je n'en ai pas reçu des parents. C'est dur à accepter.

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